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- Ce serait donc là que les oiseaux que nous retrouvons intoxiqués sur la plage auraient fait
leurs nids et respiré les substances toxiques.

- Avec l’équipe nous sommes arrivés à la même conclusion. Nous devons maintenant la

vérifier.

- Le docteur Bath est-il au courant ?

- Oui bien sûr. Il n’était pas très content que nous ayons agis dans son dos mais était ravis du
résultat de nos recherches. Le problème des oiseaux intoxiqués l’inquiétait depuis longtemps.

Comme nous tous d’ailleurs. Bref il m’a chargé de te prévenir du tournant de la situation.

- Je suis tellement contente ! s’écria Cécile en bondissant de sa chaise, Viens il faut prévenir

Edith.

- Calme-toi et termine d’abord ton café.

Une fois le café terminé et payé, ils étaient sortis et marchaient dans la rue. Enfin ils ne

marchaient pas vraiment. Cécile courait presque et Jim peinait à la suivre. Les rues n’étaient
pas bondées mais il y avait quand même pas mal de gens. On sentait l’odeur salée de la mer et

un petit rayon de soleil éclairait le ciel gris. Jim se cogna à un monsieur qui fit tomber son

chapeau. Il le ramassa et s’excusa puis cria à Cécile qui n’avait rien vu :

- Attend moi ! Tu vas trop vite ! Je ne connais pas le chemin.

- Eh bien on y est. C’est la maison d’Edith.

Cécile sonna, attendit une seconde puis sonna une deuxième fois, puis une troisième et une

quatrième et ainsi de suite. Jim commençait à avoir peur qu’elle casse la sonnette. Mais

heureusement la porte finit par s’ouvrir.

- Ho les gamins vous n’avez rien de mieux à faire ? Vermisseaux, chenapans marins d’eau

douce, … ! Oh Cécile c’est toi … Tu as raté ton train ? Pourtant tu y es allé tôt. Ne me dit pas
qu’ils font encore une grève.

- Non, non c’est Jim qui m’a empêché de rentrer dans le train…

- En voilà des manières ! C’est toi Jim ?

- Oui je suis un scientifique de l’O.P.E. et nous avons fait une découverte…

- Edith nous repartons en mission !

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