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plus d’an de l’aider. Le commandant était à la retraite, il s'appelait Raymond il avait 66 ans , il

n’avait plus toute sa tête car il avait reçu une balle dans le cerveau pendant l’ intervention du réveillon
de Noël.

Sa maison était située à côté d’un fleuve et d’une grande forêt, on pouvait y apercevoir des animaux,

des oiseaux des papillons, tout ce petit monde faisait comme une douce mélodie en accord avec la
nature.

Le commandant expliqua qu'il avait clos le dossier, car il ne voulait pas que cette enquête

soit dévoilée au grand public, il y avait beaucoup de zones d’ombre. Marine lui posa beaucoup de
questions, s’il n'avait pas trouvé un morceau de vêtement par terre ou si son financé n’ avait pas été

aperçu après la fusillade ? le commandant dit qu'il avait rien vu, mais se rappela au bout de quelques

minutes qu'il avait entendu une rumeur qui disait que le « chef » des trafiquants de drogue gardait
parfois des otages au cas où, comme rançon. Le commandant n'avait pas plus d'indices, comme

Marine il était triste, et allait faire de son mieux pour aider Marine et Ferdinand à retrouver leur ami
car il avait l’intuition qu'il était encore en vie.

Après plusieurs mois de vaines recherches pour Marine, Madame Philippine, Ferdinand et le

commandant leurs morales déclinaient. L'état de santé de la grand-mère n'était pas bon non plus, et
Marine avait peur pour elle, car elle se mettait régulièrement en danger avec le gaz, l'électricité... Elle

oubliait de plus en plus. Elle n’avait pas de famille qui venait la voir chez elle, il lui restait juste une
nièce qui habitait à l’étranger. Marine était pour ainsi dire sa seule famille. Elle pris une décision

importante. Elle demanda à la nièce si elle pouvait faire les démarches pour trouver un lieu de vie

pour Madame Philippine. Dès son accord elle se mit à la recherche de celui-ci. Elle le souhaitait pas
trop loin, avec la nature, au calme, et cosy. Sa quête fut difficile, mais Marine était tenace et fini par

trouver ce lieu. Certes un peu loin, mais elle reçu un accueil si chaleureux, tout le monde avait l’air

gentil. C’était le lieu de rêve pour la vieille dame. Marine n’avait pas oublié son enquête et son fiancé
mais appréciait s’occuper de Madame Philippine qu’elle aimait de plus en plus. Marine se mit en tête

qu'elle ne pourrait peut-être jamais retrouver son fiancé. Elle commença a perdre un peu l’espoir.

Il restait 10 jours avant le déménagement de la grand-mère dans la maison de retraite, pendant ces
10 jours elles rangèrent l'appartement, elles firent du tri dans les souvenirs d’une vie entière.

Elles n’étaient plus que maintenant à 3 jours du déménagement, tous les cartons étaient prêts

l'appartement était vide et prêt à avoir un nouveau acheteur.

Marine était nostalgique des rencontres avec Ferdinand et le commandant. Elle réalisa que cette
enquête lui avait donné une nouvelle chance et lui fit réaliser qu'elle avait de véritables amis sur

lesquels elle pouvait compter.

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