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Elle arrivât enfin dans une pièce voûtée, très sombre, avec un décor de

films d’épouvante. Au loin, en haut des escaliers, une porte claquât, elle se

rendit alors compte qu’elle était prisonnière et tombée dans un piège. Au

même moment une lumière crue s’allumât, l’éblouissant, comme si un pro-

jecteur était dirigé sur son visage.

Aux murs, des objets qui semblaient dater du moyen-âge, de ceux que l’on

voit au cinéma, dans certaines scènes de tortures. La peur s’abattit sur elle,

elle voulut hurler, mais aucun son ne sortit de sa bouche, elle était tétanisée,

paralysée par la surprise. Elle regardât plus attentivement autour d’elle,

elle était seule, en larmes, sanglotante, ne comprenant pas réellement ce

qui lui arrivait. Elle à qui il n’arrivait jamais rien !Elle vit une chaise et

s’assit, tentant de se ressaisir, en vain. Elle fermât les yeux, anéantie et in-

crédule. Qui allait la sortir de ce cauchemar qui hélas, elle le savait, n’en

était pas un ? Qui ?

Une voix, métallique… qu’elle reconnut, celle qui l’avait apostrophée, in-

citée à entrer. Voix qui semblait provenir d’un haut-parleur, la sortit de sa

torpeur.

- « Bonjour Alice, bienvenue au pays des horreurs ! » ...

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